Hier soir j’ai regardé le film “La Planète des Singes”. À mon avis c’est un film qui nous aide à réfléchir sur le danger de modifier  la nature telle qu’elle est.  Alors, dans cet article je veux essayer d’examiner quelques façons dont la nature pourrait être modifiée, et pourquoi ça pourrait être dangereux pour l’humanité. Bien sûr je vais parler aussi des quelques occasions où on l'a modifiée de  manière potentiellement  utile, ce qui peut arriver aussi. 
Dans le film, certains singes sont donnés une drogue pour modifier leurs gènes. Par conséquence, ceux  qui ont pris de la drogue devient beaucoup plus intelligents que les autres. Ils font preuve d’intelligence d’un enfant cinq ans plus âgé. La drogue est aussi un traitement pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Le personnage principal, Will Rodman (James Franco), utilise la drogue pour traiter son père. La maladie de ceci s’améliore, mais malheureusement il finit par rejetant le traitement. 
On a découvert également que la drogue peut avoir un effet fatal sur les humains qui s’y adonnent.  Un homme, qui est exposé à la drogue, meurt d’une maladie inconnue. À la fin du film on voit que la maladie a voyagé en traversant le monde. 
Je suis de l’avis que le film nous montre ce que peut arriver, avec réalisme, quand l’homme essaie de modifier la nature. Si l’homme peut créer quelque chose pour changer des gènes, il peut créer également des nouvelles maladies. 
Je sais qu’on a bien modifié les gènes pour créer des nouvelles légumes qui sont plus grands et plus délicieux. Aussi, en utilisant la reproduction sélective, on a créé des nouvelles races des chiens qui muent moins de poils et qui n’ont pas les longues queues. Ainsi on a réussi en créant des produits (ou des animaux) qui sont plus favorables à nos besoins.  En effet, l’homme utilise souvent la reproduction sélective, ou la modification des gènes, pour gagner plus d’argent
Je crois que normalement c’est mieux de laisser la nature telle qu’elle est, mais il y a des fois quand la modification pourrait être profitable. Cependant, il faut faire attention qu’on ne permet pas la modification de nous faire du mal. J’espère qu’on n’oublie jamais  comment la nature est déjà complexe et intelligent, et qu'il faut en apprendre, ne pas toujours modifier.
Saturday, 13 August 2011
Wednesday, 3 August 2011
La Petite Vingtaine
Je veux essayer aujourd’hui de s’attaquer à la question : « C’est quoi, d’être dans ses années vingt ? »
On peut dire grand choses à propos du sujet. Etant une jeune femme de vingt-et-un ans, je veux parler de mon propre avis. Je suis sûr que ceux qui sont plus d’âgées que moi ont leur propre avis qui devait être bien mérité. Moi, ayant tout juste franchie le cap de la vingtaine (bien que j’aie vingt-deux en Novembre ; un fait qui est un peu difficile pour moi de digérer !) je ne peux que donner mon impression de « d’être dans ses années vingt ».
C’est un âge un peu bizarre. On est jeune, mais en même temps on est bien adulte. Normalement on n’a pas beaucoup d’expérience de la vie, bien qu’on connaisse bien la joie et la tristesse. C’est une époque où il faut prendre des grandes décisions concernant ce que nous voulons faire avec nos vies. C’est aussi une époque quand nous pouvons, comme des adultes, s’impliquer dans nos amis - dont lesquels nous avons fait pendant notre enfance - et faire des nouveaux amis en même temps. À cet âge nos vies changent tout le temps, et il y aura souvent des gens qui arrivent à et qui partent de nos vies en vitesse. On devient sensible à la vitesse de la vie. Ce n’est pas notre faut, la vitesse ; mais ce n’est pas toujours facile. Cependant, ces changements, et souvent les difficultés qui accompagnent la vie adulte, nous aident à grandir personnellement.
C’est souvent l’âge où on trouve l’amour, peut-être pour la vie. C’est souvent l’âge quand on commence le travail ; la vie quotidienne au boulot ; « the daily grind ». Les expériences de nos enfances et de nos adolescences nous aident à répondre aux crises de la vie adulte. J’imagine que quand j’aurai vingt-neuf ans, je saurai beaucoup plus que je sais aujourd’hui. Le trou entre vingt-et-un et vingt-neuf semble assez grand, mais surement ce trou sera rempli par les expériences de mes années vingt.
C’est un âge de l’aventure. En ce moment je me sens jeune, je suis célibataire, étudiante, avec beaucoup d’intérêts et des personnes dans ma vie qui m’encouragent. La vie est comme un chemin sans fin, un chemin avec des tournes, des obstacles, des collines et des vallées. Je suis au début, mais bientôt je vais me sentir comme je suis pleine au milieu, avec beaucoup d’expérience de la vie derrière moi, et des expériences différents à suivre. «L’âge mûr» semble loin mais ça va approcher.
Physiquement je suis adulte. Je ne vais pas me grandir maintenant ; peu importe comment j’en veux. Par contre, peut-être je vais me grandir dans l’autre sens. Heureusement il y a toujours les régimes, et de faire du jogging reste toujours un sport gratuit. J’imagine aussi que je suis aussi intelligente que je ne serai jamais. Il y aura toujours les petits changements dans ma caractère (j’espère !), mais je suis arrivée en étant fondamentalement moi-même.
Quand j’étais enfante, je pensais que les femmes de vingt-et-un étaient aussi anciennes que des collines. Malheureusement, ou plutôt heureusement, j’ai attendue cet âge terrible ! Selon des enfants, je suis probablement une femme plutôt âgée. Mais selon les personnes plus âgées, je suis plutôt jeune. Ainsi l’âge de vingt-et-un est un âge plutôt ambigu.
Quant à moi, on a la chance d’être dans ses années vingt. Ce n’est pas une cause pour la honte. Certainement on n’est pas arrivée à l’âge de la connaissance optimale. Mais c’est un âge quand on peut apprendre. Il faut être ouvert, prête à faire des amis et d’accepter leur assistance dans notre cherche pour la sagesse.
À mon avis, c’est le temps le plus beau de nos vies.
On peut dire grand choses à propos du sujet. Etant une jeune femme de vingt-et-un ans, je veux parler de mon propre avis. Je suis sûr que ceux qui sont plus d’âgées que moi ont leur propre avis qui devait être bien mérité. Moi, ayant tout juste franchie le cap de la vingtaine (bien que j’aie vingt-deux en Novembre ; un fait qui est un peu difficile pour moi de digérer !) je ne peux que donner mon impression de « d’être dans ses années vingt ».
C’est un âge un peu bizarre. On est jeune, mais en même temps on est bien adulte. Normalement on n’a pas beaucoup d’expérience de la vie, bien qu’on connaisse bien la joie et la tristesse. C’est une époque où il faut prendre des grandes décisions concernant ce que nous voulons faire avec nos vies. C’est aussi une époque quand nous pouvons, comme des adultes, s’impliquer dans nos amis - dont lesquels nous avons fait pendant notre enfance - et faire des nouveaux amis en même temps. À cet âge nos vies changent tout le temps, et il y aura souvent des gens qui arrivent à et qui partent de nos vies en vitesse. On devient sensible à la vitesse de la vie. Ce n’est pas notre faut, la vitesse ; mais ce n’est pas toujours facile. Cependant, ces changements, et souvent les difficultés qui accompagnent la vie adulte, nous aident à grandir personnellement.
C’est souvent l’âge où on trouve l’amour, peut-être pour la vie. C’est souvent l’âge quand on commence le travail ; la vie quotidienne au boulot ; « the daily grind ». Les expériences de nos enfances et de nos adolescences nous aident à répondre aux crises de la vie adulte. J’imagine que quand j’aurai vingt-neuf ans, je saurai beaucoup plus que je sais aujourd’hui. Le trou entre vingt-et-un et vingt-neuf semble assez grand, mais surement ce trou sera rempli par les expériences de mes années vingt.
C’est un âge de l’aventure. En ce moment je me sens jeune, je suis célibataire, étudiante, avec beaucoup d’intérêts et des personnes dans ma vie qui m’encouragent. La vie est comme un chemin sans fin, un chemin avec des tournes, des obstacles, des collines et des vallées. Je suis au début, mais bientôt je vais me sentir comme je suis pleine au milieu, avec beaucoup d’expérience de la vie derrière moi, et des expériences différents à suivre. «L’âge mûr» semble loin mais ça va approcher.
Physiquement je suis adulte. Je ne vais pas me grandir maintenant ; peu importe comment j’en veux. Par contre, peut-être je vais me grandir dans l’autre sens. Heureusement il y a toujours les régimes, et de faire du jogging reste toujours un sport gratuit. J’imagine aussi que je suis aussi intelligente que je ne serai jamais. Il y aura toujours les petits changements dans ma caractère (j’espère !), mais je suis arrivée en étant fondamentalement moi-même.
Quand j’étais enfante, je pensais que les femmes de vingt-et-un étaient aussi anciennes que des collines. Malheureusement, ou plutôt heureusement, j’ai attendue cet âge terrible ! Selon des enfants, je suis probablement une femme plutôt âgée. Mais selon les personnes plus âgées, je suis plutôt jeune. Ainsi l’âge de vingt-et-un est un âge plutôt ambigu.
Quant à moi, on a la chance d’être dans ses années vingt. Ce n’est pas une cause pour la honte. Certainement on n’est pas arrivée à l’âge de la connaissance optimale. Mais c’est un âge quand on peut apprendre. Il faut être ouvert, prête à faire des amis et d’accepter leur assistance dans notre cherche pour la sagesse.
À mon avis, c’est le temps le plus beau de nos vies.
Friday, 15 July 2011
La Mode

Je suis assise parmi beaucoup de gens que je ne connais pas, en train de prendre un petit café et un pain au chocolat(!) (j'avais besoin de voyager à Londres pour ça?!) pour mon petit déjeuner, pendant que j'attends mon train qui va partir pour Glasgow Central Station dans une heure. Le café que je bois est beaucoup plus grand que n'importe quel café que j'ai bu à Lille depuis les vacances de Pâques.
Les gens qui m'entourent sont intéressants. Je peux vraiment dire que je suis à Londres. Alors, je vais parler des petits différences qui existent, à mon avis, entre les français et les anglais, mais surtout chez les écossais, parce que je devais les connaître encore mieux!
D'abord, je veux vous rassurer que je n'ai pas envie de juger ou faire une comparaison qui crie, 'vous voyez, les britanniques sont vraiment mieux que les français.' J'aime les français aussi que les britanniques. Nous sommes tous les humains, des amis, qui partagent beaucoup d’intérêts et similarités, ainsi que nos différences.
Quand on arrive à Londres, on remarque tout de suite les différences en mode entre les britanniques et les français. On peut bien remarquer que pendant que la mode des français semble souvent chic, classique et raffiné; amoureuse du noir, le gris et le bleu-marine; la mode britannique est exubérant, vivante, et souvent un peu bizarre. Certainement le couleur ne manque pas la mode britannique. Je suis de l'avis que avec ses vêtements, le français dit, "Je travaille bien, ainsi je gagne d'argent. J’achète des vêtements à la mode qui sont confortables mais chics, et qui m'aident a travailler." Par contre, le britannique dit, "Je suis la mode. Je m'exprime avec mes vêtements. Ça m'en fiche si je parais un peu différent."
Quand je pense de la mode britannique, surtout la mode pour les jeunes femmes, un seul mot vient à ma tête. C'est un mot qu'on n'entend jamais en France. C'est le nom d'un magasin. Ce nom, c'est Primark.
On y peut acheter les vêtements qui sont à la mode pour 1/3 du prix des mêmes types de vêtements qui sont vendus ailleurs. Pour moins d'argent on a plus de choix, ainsi on a plus d’occasion pour essayer des styles différents, pour s'exprimer. Jusqu'au ce moment ici je n'ai pas trouvé tels magasins à Lille, où les prix sont tellement bas. Peut-être ceci est une raison pour la manque de la variété, qu'à mon avis, existe parmi les vêtements qui sont portés en France.
Puis il y a la différence en taille. En général les français sont plus minces que les britanniques. En fait, je trouve qu'en Grand Bretagne il existe une forme de corps qui est presque étrange aux français. J'ai déjà parlé des courbes dans mon dernier article. Ces courbes sont vraiment plus remarqués en Écosse qu'en France. Normalement on cherche des vêtements qui aident à flatter sa forme. Pendant que les français puissent porter certains types de jeans, par exemple, souvent il faut que les écossais trouvent des vêtements pour aider à flatter ses courbes.
J'ai parlé de la manque de la couleur que j'observe dans les habilles français. Cependant, il faut que je dise que j'ai remarqué un changement depuis l'hiver. Ce semble, selon moi, que les français portent plus de couleur pendant l’été. Ils aiment (ou plutôt, elles aiment!) porter des jolies robes et chaussures en rose, vert, jaune... Cependant, passez un jour au centre ville de Glasgow, et vous verrez la différence. Il y a encore plus de couleur. Puis, on verra une variété énorme d'accessoires. Ce semble que les britanniques sont plus aventureux concernant leurs cheveux et leurs bijoux.
En conclusion, il faut qu'on se demande; alors, les britanniques, plus à la mode, ou ne que plus fous??
Tuesday, 5 July 2011
Mes pensées en français

D'abord, il faut que je dise... pour ceux qui sont français/ françaises, ou plus forts en la langue françaises que moi, je vous donne le droit de me corriger. IL FAUT QUE vous me corriger. Je veux utiliser ce blog pour améliorer mon français, aussi que vous amuser.
Aujourd'hui je vais parler de mon excursion à La Piscine à Roubaix. La Piscine est un musée - je crois que c'est une ancienne piscine rénovée. Roubaix est une ville pas loin de Lille, où je travaillais l'été dernier. Pour y aller il faut prendre le métro ou le tramway. Le voyage dure environ 30 mins, ou 1 heure pour un aller-retour.
Je suis allée à La Piscine dimanche après-midi avec quelques amis. Ce qui était marrant était le fait que c'était moi qui connaissais la route. J'ai un peu d'un réputation pour me perdre. Malgré celui-ci, on a trouvé La Piscine sans aucun problème. C'est à peu près 7 mins du métro à pied.
La Piscine est pratiquement un musée d'art nouveau. Il y a des trucs bizarres aussi que des trucs assez sympa, même beaux. Nous avons vu beaucoup de tableaux. Certains parmi eux étaient plutôt magnifiques, certains certainement pas. Ce qui était la vraie piscine il y des années, j'imagine, est rempli d'un peu d'eau. Quelques statues l’entourent. Il y avait des moches aussi que des mignons, mais j'ai remarqué un truc particulier que je veux vous dire. Quelque chose dont je crois est une leçon pour la vie.
Il y avait un statue d'une grosse femme.
Peut-être vous pensez, bah, c'est normal! Mais en fait c'est pas normal du tout. Surtout de nos jours quand il y a tant de mannequins, modèles et célébrités qui sont trop maigres. On entend beaucoup de problèmes que ça peut causer pour les femmes dans la vie quotidienne. Nous pensons qu'il faut être aussi maigre que ça pour être belle. Nous essayons des régimes de nouveau genre, dont lesquelles nous lisons dans les magazines ou regardons à la télé, et nous faisons de l’exercice jusqu'au nous nous sentons presque mortes. Cependant, comme la statue à La Piscine peut nous apprendre, les courbes peuvent être belles.
Je suis de l'avis que comme femmes, nous avons besoin de nos hanches. Nous pouvons les utiliser pour y mettre en équilibre le panier de linge, ou peut-être les enfants.
Je veux voir une nouvelle ère, quand la femme peut être sensible à ses courbes.
C'est tout que je veux dire aujourd'hui.
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