Sunday, 22 July 2012

5 Semaines en Ecosse

5 semaines en Écosse. Je suis ici pour les vacances. Je ne suis pas touriste, mais j'ai passée les derniers 3 ans de ma vie en France et il y a bien sûr des choses qu'il faut apprendre à nouveau. J'ai eu besoin de m'adapter, mais ce n'est pas trop difficile une tache. Comme une touriste, en fait, j’apprécie des choses qui m'entourent comme si c’était la première fois que je les avais vues.  Les montagnes, la mer, les arbres, les gros oiseaux; en Écosse on est sans doute entouré par une beauté exquis. Après cela il faut s'adapter à l'eau avec son gout particulier, le diner à 18h00 et la pluie qui dérange ses projets pour sortir.

Mon accent est vite revenu, si jamais il était parti! La façon dont je parle avec mes amis internationales; moins vite, clair et bien prononcé; j'ai jeté ses habitudes par la fenêtre.  Au début le français me trompait  de temps en temps, et il y a des mots et des phrases en écossais en particulier pour lesquels je dois demander une explication (parce que j'ai jamais su le sens, ou j'ai oublié). Mais si on met ces petites problèmes sur la côté, on peut bien dire que je viens de quelque part prés de Glasgow. Zut alors; j'aurais préféré que mes amies remarqueraient un petit accent étranger. Peut-être la prochaine fois.

Quelque chose que j'ai bien remarqué est un regard particulier sur les visages des écossais qui n'existent pas ailleurs. A mon avis, ce n'est pas trop difficile de voir que quelqu'un vient d’Écosse, juste à cause de leurs visages. On est assez polis et amicale ici; quand je me balade ce n'est pas bizarre d'entendre un petit 'bonjour' ou de recevoir une sourire. Cela me plait, ainsi que mes voyages à la belle ville de Glasgow où je peux prendre un petit café dans un de mes cafés préférés- Costa et Starbucks- et en plus il y a un tas de choses à voir et à faire dans la ville. Il y a beaucoup de monde, beaucoup de couleur, beaucoup de mémoires qui viennent de mon enfance et de mes années comme ado. J’étais étudiante à Glasgow, mais je n'avais pas l'occasion d’expérimenter tous ce qui est offert  aux étudiants dans la ville. C'est une ville de vitalité, de la beauté et de la culture . Je peux bien dire que j'ai eu de la chance de me grandir dans cette partie du monde.

Aussi, apprécie l'occasion d'habiter dans une vraie maison pour un peu! J'aime bien de louer un appartement à Lille. Cela fait partie de la joie d’être une jeune adulte qui est libre, qui commence la vie de travail et de l’indépendance.  Mais d'un autre côté j'aime beaucoup d'avoir d'espace dans laquelle on peut bouger et vivre. J'aime bien d'avoir une cuisine équipée, un feu qui marchent sans problème, et même deux salles de bain! Je suis reconnaissant pour ces avantages. Aussi j'aime beaucoup de passer du temps avec ma mère et ma sœur. Il faut quitter la maison, il faut vivre de façon indépendante, mais on a toujours besoin de sa famille. Je pense que lorsqu'on devient plus âgée, on apprend peu à peu combien on est aimé par sa famille, combien il faut l’apprécier.

Quelle chance d'avoir deux lieux que je peux nommer 'chez moi'. 'Chez soi est où on se trouve le cœur', et mon cœur est divisé entre l’Écosse et la France. Cependant je suis vraiment contente de passer ces 5 semaines en Écosse, le beau pays de mes origines.




Tuesday, 3 July 2012

Des Vésicules et Scotland Rules


Aujourd’hui j’ai pensé à quelque chose qui, selon moi, peut être une grande différence entre la Grande-Bretagne et la France. C’est une des seules choses qui me dérange concernant la vie quotidienne dans une ville françaises. Alors, c’est quoi ce truc ?  Simple : les toilettes françaises. 

Et il y a quelque chose que je n’aime pas. Quelque chose qui me dégoute et qui ne me rends pas contente. A mon avis, ce qui peuvent être pire que des toilettes sales ? Il faut que je dise tout de suite que je ne dis pas que toutes les toilettes en France sont sales, parce que ceci n’est pas le cas. Mais j’en ai trouvé beaucoup dans ce beau pays que j’aime avec tout mon cœur. En plus souvent les toilettes ne marchent pas. La chasse d’eau ne tire pas. La robinet ne fonctionne plus. Il n’y a plus du papier toilette. Ou encore pire ; les toilettes sont unisexes. Les hommes et les femmes les deux doivent utiliser les mêmes facilités. 

Bien sûr ceci se passe partout dans le monde. On peut trouver les toilettes dégoûtant à Glasgow ainsi qu’à Lille. Mais ce semble à moi que les français n’ont pas la honte comme les autres en ce qui concerne l’état des toilettes. Cependant, il faut ne juger pas tout de suite. Ce semble à moi aussi que les français sont plus intéressés, assez souvent, par les choses  qui ont plus du sens dans la vie que l’état des toilettes. Par exemple, ils sont intéressés par leurs amis, par leurs familles. Ils aiment passer les soirées ensemble, de manger ensemble, d’investir dans les vies de ceux qu’ils aiment. Et je trouve cela admirable. (Je vous aime, mes amis français).

Et sur la côté positive, au moins les toilettes françaises sont normalement plus qu’un trou dans le sol.
En revanche, c’est que je n’aime pas est-ce qu’il faut souvent payer pour utiliser les toilettes publiques. Cela n’est pas toujours  pratique quand on est pressé. Qu’est-ce que se passe quand on a oublié son monnaie chez soi ? Est-ce que la France doit réfléchir sur la question, créons-nous de la stresse excessive  pour les vésicules ?  Il faut prendre l’exemple de les ‘Buchanan Galleries’ à Glasgow. Voici un lieu public ou les toilettes sont propres, toujours équipées du papier toilette, et toujours gratuites. J’imagine qu’à Glasgow, les vésicules sont beaucoup moins stressées.

Voilà, une petite réflexion sur les toilettes. Vous êtes d’accord ou non avec moi ?