Saturday, 13 August 2011

La Planète des Singes

Hier soir j’ai regardé le film “La Planète des Singes”. À mon avis c’est un film qui nous aide à réfléchir sur le danger de modifier la nature telle qu’elle est. Alors, dans cet article je veux essayer d’examiner quelques façons dont la nature pourrait être modifiée, et pourquoi ça pourrait être dangereux pour l’humanité. Bien sûr je vais parler aussi des quelques occasions où on l'a modifiée de manière potentiellement utile, ce qui peut arriver aussi.

Dans le film, certains singes sont donnés une drogue pour modifier leurs gènes. Par conséquence, ceux qui ont pris de la drogue devient beaucoup plus intelligents que les autres. Ils font preuve d’intelligence d’un enfant cinq ans plus âgé. La drogue est aussi un traitement pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Le personnage principal, Will Rodman (James Franco), utilise la drogue pour traiter son père. La maladie de ceci s’améliore, mais malheureusement il finit par rejetant le traitement.

On a découvert également que la drogue peut avoir un effet fatal sur les humains qui s’y adonnent. Un homme, qui est exposé à la drogue, meurt d’une maladie inconnue. À la fin du film on voit que la maladie a voyagé en traversant le monde.
Je suis de l’avis que le film nous montre ce que peut arriver, avec réalisme, quand l’homme essaie de modifier la nature. Si l’homme peut créer quelque chose pour changer des gènes, il peut créer également des nouvelles maladies.

Je sais qu’on a bien modifié les gènes pour créer des nouvelles légumes qui sont plus grands et plus délicieux. Aussi, en utilisant la reproduction sélective, on a créé des nouvelles races des chiens qui muent moins de poils et qui n’ont pas les longues queues. Ainsi on a réussi en créant des produits (ou des animaux) qui sont plus favorables à nos besoins. En effet, l’homme utilise souvent la reproduction sélective, ou la modification des gènes, pour gagner plus d’argent

Je crois que normalement c’est mieux de laisser la nature telle qu’elle est, mais il y a des fois quand la modification pourrait être profitable. Cependant, il faut faire attention qu’on ne permet pas la modification de nous faire du mal. J’espère qu’on n’oublie jamais comment la nature est déjà complexe et intelligent, et qu'il faut en apprendre, ne pas toujours modifier.

Wednesday, 3 August 2011

La Petite Vingtaine

Je veux essayer aujourd’hui de s’attaquer à la question : « C’est quoi, d’être dans ses années vingt ? »

On peut dire grand choses à propos du sujet. Etant une jeune femme de vingt-et-un ans, je veux parler de mon propre avis. Je suis sûr que ceux qui sont plus d’âgées que moi ont leur propre avis qui devait être bien mérité. Moi, ayant tout juste franchie le cap de la vingtaine (bien que j’aie vingt-deux en Novembre ; un fait qui est un peu difficile pour moi de digérer !) je ne peux que donner mon impression de « d’être dans ses années vingt ».

C’est un âge un peu bizarre. On est jeune, mais en même temps on est bien adulte. Normalement on n’a pas beaucoup d’expérience de la vie, bien qu’on connaisse bien la joie et la tristesse. C’est une époque où il faut prendre des grandes décisions concernant ce que nous voulons faire avec nos vies. C’est aussi une époque quand nous pouvons, comme des adultes, s’impliquer dans nos amis - dont lesquels nous avons fait pendant notre enfance - et faire des nouveaux amis en même temps. À cet âge nos vies changent tout le temps, et il y aura souvent des gens qui arrivent à et qui partent de nos vies en vitesse. On devient sensible à la vitesse de la vie. Ce n’est pas notre faut, la vitesse ; mais ce n’est pas toujours facile. Cependant, ces changements, et souvent les difficultés qui accompagnent la vie adulte, nous aident à grandir personnellement.

C’est souvent l’âge où on trouve l’amour, peut-être pour la vie. C’est souvent l’âge quand on commence le travail ; la vie quotidienne au boulot ; « the daily grind ». Les expériences de nos enfances et de nos adolescences nous aident à répondre aux crises de la vie adulte. J’imagine que quand j’aurai vingt-neuf ans, je saurai beaucoup plus que je sais aujourd’hui. Le trou entre vingt-et-un et vingt-neuf semble assez grand, mais surement ce trou sera rempli par les expériences de mes années vingt.

C’est un âge de l’aventure. En ce moment je me sens jeune, je suis célibataire, étudiante, avec beaucoup d’intérêts et des personnes dans ma vie qui m’encouragent. La vie est comme un chemin sans fin, un chemin avec des tournes, des obstacles, des collines et des vallées. Je suis au début, mais bientôt je vais me sentir comme je suis pleine au milieu, avec beaucoup d’expérience de la vie derrière moi, et des expériences différents à suivre. «L’âge mûr» semble loin mais ça va approcher.
Physiquement je suis adulte. Je ne vais pas me grandir maintenant ; peu importe comment j’en veux. Par contre, peut-être je vais me grandir dans l’autre sens. Heureusement il y a toujours les régimes, et de faire du jogging reste toujours un sport gratuit. J’imagine aussi que je suis aussi intelligente que je ne serai jamais. Il y aura toujours les petits changements dans ma caractère (j’espère !), mais je suis arrivée en étant fondamentalement moi-même.

Quand j’étais enfante, je pensais que les femmes de vingt-et-un étaient aussi anciennes que des collines. Malheureusement, ou plutôt heureusement, j’ai attendue cet âge terrible ! Selon des enfants, je suis probablement une femme plutôt âgée. Mais selon les personnes plus âgées, je suis plutôt jeune. Ainsi l’âge de vingt-et-un est un âge plutôt ambigu.

Quant à moi, on a la chance d’être dans ses années vingt. Ce n’est pas une cause pour la honte. Certainement on n’est pas arrivée à l’âge de la connaissance optimale. Mais c’est un âge quand on peut apprendre. Il faut être ouvert, prête à faire des amis et d’accepter leur assistance dans notre cherche pour la sagesse.
À mon avis, c’est le temps le plus beau de nos vies.