Wednesday, 24 October 2012

Un travail de la vie

En ce moment, ma vie est pour la plupart centrée sur les enfants. Je travaille avec eux 5 jours sur 7. Je suis intervenante d'anglais dans une maternelle et les soirs je fais du babysitting pour une fille et un garçon âgés 3 et 5. J'ai commencé mes travaux en septembre et depuis le début j'ai appris plein de choses concernant les enfants. Je commence à savoir m'y prendre avec eux. Il faut stresser le 'commence'. Je pense que comprendre les enfants sera le travail d'une vie. Ils sont tellement complexes; et pourtant on dit que les adultes en sont! Je dirais que moi je suis même moins complexe qu'un enfant.

J'ai déjà beaucoup travailler avec des enfants, mais même avec des années d’expérience je peux me sentir tellement nul. Je les aime (pour la plupart) mais en même temps ils peuvent m’énerver. J'imagine que c'est normale et que même les parents deviennent énervés par leurs enfants de temps en temps. Les petits peuvent être adorables tandis qu'ils soient méchants. Le concept du péché originel est manifesté dans un enfant dés la naissance.

Comment discipliner, ça c'est une très grave question. Je pense que personne réussit vraiment à savoir la reponse. Il faut encourager l'enfant à faire ou décourager l'enfant de faire quelque chose? Comment trouver le bon milieu entre l'encouragement positif et le discipline constructif? Comment discipliner? Certes il y a des fois où on voudrait bien donner un coup a l'enfant qui ne répond pas aux menaces et qui font des betises sans cesse, mais de se fâcher et de reprocher tandis qu'on soit en colère n'est pas une bonne idée.  Ceci est plus facile à dire qu'à faire. Dans un monde idéal, il faut s’éloigner des enfants et de leurs betises sachant que quand ils font des choses qui ne sont pas bien, ce n'est pas fait pour attaquer ou blesser le prof. Les enfants font des betises à cause du péché originel  (à mon avis) et leur envie de les faire.

Je suis en vacances pour deux semaines et je pense que je veux en profiter et aller à la bibliothèque pour essayer de trouver les livres sur le discipline des enfants. Cependant je suis de l'avis que de savoir discipliner va venir avec des années de l’expérience dans mon travail.

Je cherche des conseils/ vos expériences/ vos avis sur le discipline des enfants. Je pense que c'est un sujet controverse, diverse et riche, dont on a tellement besoin d’étudier pendant notre époque quand beaucoup d'enfants semblent d’être laissés de faire exactement ce qu'ils veulent, sans conséquence de leurs gaffes. 


Sunday, 22 July 2012

5 Semaines en Ecosse

5 semaines en Écosse. Je suis ici pour les vacances. Je ne suis pas touriste, mais j'ai passée les derniers 3 ans de ma vie en France et il y a bien sûr des choses qu'il faut apprendre à nouveau. J'ai eu besoin de m'adapter, mais ce n'est pas trop difficile une tache. Comme une touriste, en fait, j’apprécie des choses qui m'entourent comme si c’était la première fois que je les avais vues.  Les montagnes, la mer, les arbres, les gros oiseaux; en Écosse on est sans doute entouré par une beauté exquis. Après cela il faut s'adapter à l'eau avec son gout particulier, le diner à 18h00 et la pluie qui dérange ses projets pour sortir.

Mon accent est vite revenu, si jamais il était parti! La façon dont je parle avec mes amis internationales; moins vite, clair et bien prononcé; j'ai jeté ses habitudes par la fenêtre.  Au début le français me trompait  de temps en temps, et il y a des mots et des phrases en écossais en particulier pour lesquels je dois demander une explication (parce que j'ai jamais su le sens, ou j'ai oublié). Mais si on met ces petites problèmes sur la côté, on peut bien dire que je viens de quelque part prés de Glasgow. Zut alors; j'aurais préféré que mes amies remarqueraient un petit accent étranger. Peut-être la prochaine fois.

Quelque chose que j'ai bien remarqué est un regard particulier sur les visages des écossais qui n'existent pas ailleurs. A mon avis, ce n'est pas trop difficile de voir que quelqu'un vient d’Écosse, juste à cause de leurs visages. On est assez polis et amicale ici; quand je me balade ce n'est pas bizarre d'entendre un petit 'bonjour' ou de recevoir une sourire. Cela me plait, ainsi que mes voyages à la belle ville de Glasgow où je peux prendre un petit café dans un de mes cafés préférés- Costa et Starbucks- et en plus il y a un tas de choses à voir et à faire dans la ville. Il y a beaucoup de monde, beaucoup de couleur, beaucoup de mémoires qui viennent de mon enfance et de mes années comme ado. J’étais étudiante à Glasgow, mais je n'avais pas l'occasion d’expérimenter tous ce qui est offert  aux étudiants dans la ville. C'est une ville de vitalité, de la beauté et de la culture . Je peux bien dire que j'ai eu de la chance de me grandir dans cette partie du monde.

Aussi, apprécie l'occasion d'habiter dans une vraie maison pour un peu! J'aime bien de louer un appartement à Lille. Cela fait partie de la joie d’être une jeune adulte qui est libre, qui commence la vie de travail et de l’indépendance.  Mais d'un autre côté j'aime beaucoup d'avoir d'espace dans laquelle on peut bouger et vivre. J'aime bien d'avoir une cuisine équipée, un feu qui marchent sans problème, et même deux salles de bain! Je suis reconnaissant pour ces avantages. Aussi j'aime beaucoup de passer du temps avec ma mère et ma sœur. Il faut quitter la maison, il faut vivre de façon indépendante, mais on a toujours besoin de sa famille. Je pense que lorsqu'on devient plus âgée, on apprend peu à peu combien on est aimé par sa famille, combien il faut l’apprécier.

Quelle chance d'avoir deux lieux que je peux nommer 'chez moi'. 'Chez soi est où on se trouve le cœur', et mon cœur est divisé entre l’Écosse et la France. Cependant je suis vraiment contente de passer ces 5 semaines en Écosse, le beau pays de mes origines.




Tuesday, 3 July 2012

Des Vésicules et Scotland Rules


Aujourd’hui j’ai pensé à quelque chose qui, selon moi, peut être une grande différence entre la Grande-Bretagne et la France. C’est une des seules choses qui me dérange concernant la vie quotidienne dans une ville françaises. Alors, c’est quoi ce truc ?  Simple : les toilettes françaises. 

Et il y a quelque chose que je n’aime pas. Quelque chose qui me dégoute et qui ne me rends pas contente. A mon avis, ce qui peuvent être pire que des toilettes sales ? Il faut que je dise tout de suite que je ne dis pas que toutes les toilettes en France sont sales, parce que ceci n’est pas le cas. Mais j’en ai trouvé beaucoup dans ce beau pays que j’aime avec tout mon cœur. En plus souvent les toilettes ne marchent pas. La chasse d’eau ne tire pas. La robinet ne fonctionne plus. Il n’y a plus du papier toilette. Ou encore pire ; les toilettes sont unisexes. Les hommes et les femmes les deux doivent utiliser les mêmes facilités. 

Bien sûr ceci se passe partout dans le monde. On peut trouver les toilettes dégoûtant à Glasgow ainsi qu’à Lille. Mais ce semble à moi que les français n’ont pas la honte comme les autres en ce qui concerne l’état des toilettes. Cependant, il faut ne juger pas tout de suite. Ce semble à moi aussi que les français sont plus intéressés, assez souvent, par les choses  qui ont plus du sens dans la vie que l’état des toilettes. Par exemple, ils sont intéressés par leurs amis, par leurs familles. Ils aiment passer les soirées ensemble, de manger ensemble, d’investir dans les vies de ceux qu’ils aiment. Et je trouve cela admirable. (Je vous aime, mes amis français).

Et sur la côté positive, au moins les toilettes françaises sont normalement plus qu’un trou dans le sol.
En revanche, c’est que je n’aime pas est-ce qu’il faut souvent payer pour utiliser les toilettes publiques. Cela n’est pas toujours  pratique quand on est pressé. Qu’est-ce que se passe quand on a oublié son monnaie chez soi ? Est-ce que la France doit réfléchir sur la question, créons-nous de la stresse excessive  pour les vésicules ?  Il faut prendre l’exemple de les ‘Buchanan Galleries’ à Glasgow. Voici un lieu public ou les toilettes sont propres, toujours équipées du papier toilette, et toujours gratuites. J’imagine qu’à Glasgow, les vésicules sont beaucoup moins stressées.

Voilà, une petite réflexion sur les toilettes. Vous êtes d’accord ou non avec moi ?

Saturday, 12 May 2012

Comment Vivre Pour Pas Cher

Aujourd'hui je vais traiter le sujet, "Comment vivre pour pas cher." Bien sûr je ne peux pas donner la solution novateur, mais je peux parler de mes expériences en vivant comme étudiante pendant ces deux derniers ans sans beaucoup d'argent (comme la plupart d’étudiants!) Aussi, puisque j'habitais à Lille, je ne peux que parler de comment vivre pour pas cher ici. Quand j’étais étudiante en Écosse j'étais plutôt riche parce que je vivais chez ma mère et je recevais une bourse qui suffisait plutôt largement. Et j'avais le temps d'avoir un travail mi-temps en même temps. A la fac on m'a été travaillé trop d'avoir un travail!

Alors, mes conseils pour vivre pour pas cher: tout d'abord, je dirais que il faut chercher partout pour le bon marché. Il y a des magasins qui ne semblent pas trop cher, comme Lidl par exemple, mais en fait le café là-bas est assez cher. Je préfère d'acheter mon café à Hema. Je vais partager un secret. J'ai un cafetière dans ma chambre, mais je n’achète plus le café filtre. J’achète les dosettes du café et je les ouvre et remplis le cafetière avec ce qui est dedans le petit sac (le café en poudre). Ces dosettes ne coutent que 1 euro et à mon avis ils ont le même gout que le café régulier.

Je viens de découvrir un magasin qui s'appelle 'E.Leclerc' qui est le mieux à Lille, je trouve au moins. Mes magasins préfères et les moins-chers sont: Hema, Lidl et E.Leclerc. On peut toujours trouver les meilleurs prix à Carrefour et à Match aussi, mais il faut trouver des articles avec leur propre marque.

En revanche, on peut toujours trouver les petits emplois pour gagner un peu d'argent, comme le babysitting ou le travail avec les étudiants internationaux (comme je faisais plusieurs fois), ou on peut donner les cours en anglais (comme je fais actuellement).

Je vais continuer plus tard, quand je ne suis pas assez fatiguée; en ce moment j'ai des examens et j’écris pour m'entrainer pour mon examen de la version ( la traduction anglais-français).




Monday, 30 April 2012

l'Histoire Derriere les Poules

l’Histoire Derrière les Poules

Voyant que je ne veux pas perdre mon français pendant les vacances, je vais vous expliquer l'histoire des poules.  J'imagine qu'il y a beaucoup de personnes qui se demandent, bah, c'est quoi son obsession avec les poules? Alors, je vais raconter d’où tout cela commença...

En 2010 j’étais jeune fille au pair pour une famille à Roubaix. J'habitais dans leur maison à eux, dans laquelle il y avait un grand jardin. Au fond de ce jardin il y avait trois poules. Sans noms, les pauvres.

Je me suis occupée des enfants, mais de temps en temps je me suis occupée aussi des poules. Cela ne faisait pas partie de ma fiche de poste; par contre c’était souvent nécessaire. Quelquefois tout a coup les enfants courraient vers le poulailler et en quelques secondes la porte du poulailler serait ouvert et les trois poules échappées. Et moi, je chassais les poules. Je chassais les enfants qui chassaient les poules. Enfin, pour la plupart des fois, nous les rattrapions ensemble, et les déposerions encore dans leur poulailler. C’était gênant, bien sur, d'avoir besoin de rattraper les poules aussi souvent qu'il fallait; mais en fait nous assez bien nous amusions. Il y a quelque chose dans les yeux d'un enfant qui est en train de chasser une poule qui touche le cœur. Il y a un joie; pour eux, c'est un jeu. Et on a l'impression que les poules s'amusent tellement aussi. Alors nous sommes tous plus ou moins contents d’être dans la situation. Pourvu que Mère ne voie pas de la fenêtre tandis qu'elle fait la vaisselle!

Pendant cet époque, quelque chose était allumée dans mon cœur. Ainsi commença le truc avec les poules. C’était juste après cet été que j’écrivis ma chanson, 'House-Trained Chickens'. L’idée d'une poule propre me passionne. On peut garder un chien propre dans la maison, un lapin propre, même un poney Shetland; alors pourquoi pas une poule? Je pense que les poules sont rigolos et nous avons tous besoin de rire plus qu'on fait. Je pense qu'on peut apprendre beaucoup d'une poule.  Elles sont moches, bien sur, mais il ne faut pas juger à cause du fait. Trouvez la beauté dans toutes les choses, rirez plus et chassez les poules.

Et non, je n'ai pas bu.





Saturday, 13 August 2011

La Planète des Singes

Hier soir j’ai regardé le film “La Planète des Singes”. À mon avis c’est un film qui nous aide à réfléchir sur le danger de modifier la nature telle qu’elle est. Alors, dans cet article je veux essayer d’examiner quelques façons dont la nature pourrait être modifiée, et pourquoi ça pourrait être dangereux pour l’humanité. Bien sûr je vais parler aussi des quelques occasions où on l'a modifiée de manière potentiellement utile, ce qui peut arriver aussi.

Dans le film, certains singes sont donnés une drogue pour modifier leurs gènes. Par conséquence, ceux qui ont pris de la drogue devient beaucoup plus intelligents que les autres. Ils font preuve d’intelligence d’un enfant cinq ans plus âgé. La drogue est aussi un traitement pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Le personnage principal, Will Rodman (James Franco), utilise la drogue pour traiter son père. La maladie de ceci s’améliore, mais malheureusement il finit par rejetant le traitement.

On a découvert également que la drogue peut avoir un effet fatal sur les humains qui s’y adonnent. Un homme, qui est exposé à la drogue, meurt d’une maladie inconnue. À la fin du film on voit que la maladie a voyagé en traversant le monde.
Je suis de l’avis que le film nous montre ce que peut arriver, avec réalisme, quand l’homme essaie de modifier la nature. Si l’homme peut créer quelque chose pour changer des gènes, il peut créer également des nouvelles maladies.

Je sais qu’on a bien modifié les gènes pour créer des nouvelles légumes qui sont plus grands et plus délicieux. Aussi, en utilisant la reproduction sélective, on a créé des nouvelles races des chiens qui muent moins de poils et qui n’ont pas les longues queues. Ainsi on a réussi en créant des produits (ou des animaux) qui sont plus favorables à nos besoins. En effet, l’homme utilise souvent la reproduction sélective, ou la modification des gènes, pour gagner plus d’argent

Je crois que normalement c’est mieux de laisser la nature telle qu’elle est, mais il y a des fois quand la modification pourrait être profitable. Cependant, il faut faire attention qu’on ne permet pas la modification de nous faire du mal. J’espère qu’on n’oublie jamais comment la nature est déjà complexe et intelligent, et qu'il faut en apprendre, ne pas toujours modifier.

Wednesday, 3 August 2011

La Petite Vingtaine

Je veux essayer aujourd’hui de s’attaquer à la question : « C’est quoi, d’être dans ses années vingt ? »

On peut dire grand choses à propos du sujet. Etant une jeune femme de vingt-et-un ans, je veux parler de mon propre avis. Je suis sûr que ceux qui sont plus d’âgées que moi ont leur propre avis qui devait être bien mérité. Moi, ayant tout juste franchie le cap de la vingtaine (bien que j’aie vingt-deux en Novembre ; un fait qui est un peu difficile pour moi de digérer !) je ne peux que donner mon impression de « d’être dans ses années vingt ».

C’est un âge un peu bizarre. On est jeune, mais en même temps on est bien adulte. Normalement on n’a pas beaucoup d’expérience de la vie, bien qu’on connaisse bien la joie et la tristesse. C’est une époque où il faut prendre des grandes décisions concernant ce que nous voulons faire avec nos vies. C’est aussi une époque quand nous pouvons, comme des adultes, s’impliquer dans nos amis - dont lesquels nous avons fait pendant notre enfance - et faire des nouveaux amis en même temps. À cet âge nos vies changent tout le temps, et il y aura souvent des gens qui arrivent à et qui partent de nos vies en vitesse. On devient sensible à la vitesse de la vie. Ce n’est pas notre faut, la vitesse ; mais ce n’est pas toujours facile. Cependant, ces changements, et souvent les difficultés qui accompagnent la vie adulte, nous aident à grandir personnellement.

C’est souvent l’âge où on trouve l’amour, peut-être pour la vie. C’est souvent l’âge quand on commence le travail ; la vie quotidienne au boulot ; « the daily grind ». Les expériences de nos enfances et de nos adolescences nous aident à répondre aux crises de la vie adulte. J’imagine que quand j’aurai vingt-neuf ans, je saurai beaucoup plus que je sais aujourd’hui. Le trou entre vingt-et-un et vingt-neuf semble assez grand, mais surement ce trou sera rempli par les expériences de mes années vingt.

C’est un âge de l’aventure. En ce moment je me sens jeune, je suis célibataire, étudiante, avec beaucoup d’intérêts et des personnes dans ma vie qui m’encouragent. La vie est comme un chemin sans fin, un chemin avec des tournes, des obstacles, des collines et des vallées. Je suis au début, mais bientôt je vais me sentir comme je suis pleine au milieu, avec beaucoup d’expérience de la vie derrière moi, et des expériences différents à suivre. «L’âge mûr» semble loin mais ça va approcher.
Physiquement je suis adulte. Je ne vais pas me grandir maintenant ; peu importe comment j’en veux. Par contre, peut-être je vais me grandir dans l’autre sens. Heureusement il y a toujours les régimes, et de faire du jogging reste toujours un sport gratuit. J’imagine aussi que je suis aussi intelligente que je ne serai jamais. Il y aura toujours les petits changements dans ma caractère (j’espère !), mais je suis arrivée en étant fondamentalement moi-même.

Quand j’étais enfante, je pensais que les femmes de vingt-et-un étaient aussi anciennes que des collines. Malheureusement, ou plutôt heureusement, j’ai attendue cet âge terrible ! Selon des enfants, je suis probablement une femme plutôt âgée. Mais selon les personnes plus âgées, je suis plutôt jeune. Ainsi l’âge de vingt-et-un est un âge plutôt ambigu.

Quant à moi, on a la chance d’être dans ses années vingt. Ce n’est pas une cause pour la honte. Certainement on n’est pas arrivée à l’âge de la connaissance optimale. Mais c’est un âge quand on peut apprendre. Il faut être ouvert, prête à faire des amis et d’accepter leur assistance dans notre cherche pour la sagesse.
À mon avis, c’est le temps le plus beau de nos vies.